La journée du samedi 1er octobre avait été choisie parce que le samedi, il y a moins de monde sur la chaume. Et avec cette journée annoncée pluvieuse, tout se présentait bien. Quoique le ciel rouge du matin n’annonçait rien de bon !

Arrivé sur la chaume, après avoir jeté un œil au bord du sentier et ramassé quelques cèpes, j’arrive au chantier sous la pluie. J’y retrouve , Jean-Luc, Maxime, Arnaud, et le maître du tracteur orange, Jean-Pierre. Quelques minutes plus tard Alain et Didier. Décision faite de débarder, nous voila sous une pluie de plus en plus drue, bientôt trempés comme des canards, froid humide, les chaussures, faisant un drôle de bruit de succion, bref malgré les intempéries, nous avons remonté les grumes, le bois coupé avec la schlitte, tantôt chargeant la remarque pour déposer au chalet, tantôt tirant le câble pour attacher soit les grumes soit la schlitte.

Enfin toutes grumes au dessus du chemin, le bois coupé remonté, nous avons filé sous la douche, merci encore à Jean-Marie d’avoir prévu deux douches. Elles ont été plus que nécessaires. apéro préparé par Sophie, Nelly, Emilien, Agathe, Léon, Chloé, Martin, Cathleen, Mathieu, qui donne aussi la main pour décharger la remorque, et repas fourni par Cousine à Jean-Pierre.

Le dimanche, rejoints par Anais, Guillaume, Gilles, Christine, rebelotte, pluie battante, quelques bricoles, pinces et chatterton pour démarrer le tracteur, débardage de la dernière grume, et pour ma part retour à la maison, je sentais venir un refroidissement carabiné qui m’a privé de voix pendant une semaine.

Les courageux du dimanche ont fendu , rangé, le maximum sous l’abri à bois, chapeau bas , tache accomplie.

Une réponse

  1. Pfff.. ça devait être dantesque.

    Un grand merci à tous, on aura une grosse pensée pour vous quand on aura bien chaud pendant les hivers.

    La prochaine fois, la trésorière payera les Pulmol et autres bonbons pour la gorge..

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